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Dans cette vidéo inspirante, Aventurero, un volontaire colombien, partage son voyage en Ukraine :

– Comment il a découvert la Légion grâce aux réseaux sociaux

– Pourquoi servir est un honneur, pas seulement un travail

– À propos des défis, des peurs et de l'adaptation

– À propos de la formation dispensée par une équipe internationale

– À propos de l'attitude des commandants et des autres soldats envers les étrangers

– À propos de l'équipement, des conditions, des traducteurs et de la véritable fraternité

• «Nous ne sommes pas venus ici pour des vacances, nous sommes venus servir.»

• «L'essentiel est d'être prêt, physiquement, mentalement et avec une réelle volonté d'aider.»

• «Ici, tout fonctionne comme une machine bien huilée. Et vous en faites partie.»

Randu, volontaire péruvien, sert dans la Première Légion internationale des Forces de défense ukrainiennes.

Je tiens tout d'abord à remercier la Légion pour l'opportunité et l'expérience qu'elle m'a offertes.

Ces deux années ont été riches en événements. J'ai participé à de nombreuses missions, reçu des médailles de combat et la Légion a reconnu mon service. J'ai été blessé au combat près d'Andriivka et j'ai passé quatre mois à l'hôpital ; pendant tout ce temps, j'ai reçu les indemnités auxquelles j'avais droit.

«En réalité, c'est la guerre. C'est quelque chose de technologique, quelque chose que je n'avais jamais connu auparavant. Mais si vous êtes un soldat dans l'âme et que vous aimez ce que vous faites, venez ici, mes frères, vous êtes les bienvenus.»

Quant aux conditions de vie, nous avons toujours eu ce dont nous avions besoin : nourriture, équipement et uniformes. Même en cas de retard dû aux combats, nous avions toujours de quoi survivre et terminer la mission.

Mon conseil à tous les soldats exceptionnels qui souhaitent participer est simple : frères, restez concentrés. Chaque mission ou opération exige une concentration totale. Et nous avons besoin d'une solide compréhension mutuelle avec nos coéquipiers : tout comme je peux les aider, ils peuvent m'aider. C'est un travail d'équipe.

J'ai servi dans la Première Légion internationale, défendant des positions près de Kostyantynivka et d'Andriivka. Je suis fier de faire partie de cette unité.

«L'Ukraine ne veut pas capituler, et c'est pourquoi nous sommes ici, pour la soutenir. C'est leur terre, et elle leur appartient. Chaque soldat ukrainien est prêt à donner sa vie, mais jamais à déposer les armes.»

Histoire d'un volontaire étranger : «Je croyais que cette guerre était la mienne aussi»

Yuri, indicatif d'appel « Mega », est originaire de la province de Bergame, en Italie. En 2023, il est arrivé en Ukraine pour rejoindre la Légion internationale des Forces de défense ukrainiennes. Après une courte formation, Yuri est devenu mitrailleur au sein d'unités de combat opérant sur le front de Bakhmut, notamment dans les villages d'Andriivka et de Klishchiivka.

«Nous étions des stormtroopers ; notre mission était de repousser l'ennemi hors de ses positions», se souvient Yuri.

Il a traversé un parcours difficile, de ses premiers combats à l'obtention du statut de vétéran des forces armées ukrainiennes. Pendant deux ans, il a sillonné l'Ukraine, rencontré les habitants, découvert leur culture et découvert la véritable valeur du combat pour la liberté.

«Un jour, à Kharkiv, un petit enfant est venu me serrer dans ses bras et m'a dit "merci". C'était incroyable. Nous sommes là pour ces enfants, pour les femmes, pour tout le peuple ukrainien», raconte-t-il.

Aujourd'hui, Yuri continue non seulement de se battre pour la liberté de l'Ukraine, mais rêve aussi de rester après la victoire. «Je veux rester ici, peut-être pas comme soldat, mais comme citoyen ordinaire. J'ai appris à aimer ce pays, sa culture et ses habitants.»

Je m'appelle Dark. Je suis instructeur de formation tactique au sein des forces de défense ukrainiennes. Je suis un ancien soldat ayant travaillé dans la sécurité côtière et opéré dans des zones à haut risque.

En 2022, je suis arrivé en Ukraine pour contribuer à la lutte pour la liberté. De l'aide humanitaire aux combats en première ligne, j'ai travaillé aux côtés de combattants ukrainiens et étrangers. Grièvement blessé au combat, je suis revenu après ma convalescence pour former des volontaires prêts à défendre l'Ukraine.

L'ancien soldat Knight raconte comment sa rencontre avec des combattants ukrainiens lors de son entraînement l'a poussé à rejoindre les Forces de défense ukrainiennes. Il apprend désormais activement l'ukrainien, symbolisant son désir de s'intégrer pleinement à la cause commune.

Si les récits des légionnaires étrangers vous intéressent et que vous souhaitez en savoir plus sur leurs expériences personnelles, cette vidéo est faite pour vous!

Une histoire de courage et des conseils pour les futurs volontaires – Le témoignage de Thomas (« Krakov »), volontaire étranger

« Si vous souhaitez rejoindre les forces ukrainiennes, sachez que vous serez formé de A à Z jusqu'à être pleinement opérationnel », déclare Thomas, volontaire polonais (indicatif d'appel « Krakov »). Nous vous présentons une interview exclusive d'un volontaire qui défend l'Ukraine.

Il a quitté une vie confortable au Royaume-Uni pour participer à la défense de l'Ukraine. Dans cette vidéo, Thomas raconte comment, quelques jours seulement après le début de la guerre, il a décidé d'abandonner sa carrière de gérant dans l'un des restaurants les plus luxueux de Londres pour devenir volontaire pour la liberté de l'Ukraine.

Lorsqu'il a traversé la frontière, sa plus forte impression a été l'accueil chaleureux et la gentillesse des habitants qui l'ont aidé au début. Thomas décrit son entraînement au champ de tir et comment il s'est rapidement retrouvé à défendre Kiev, d'abord au sein de la Légion géorgienne, puis du bataillon « Carpathian Sich ».

Contre toute attente, Thomas est devenu médecin de combat et formateur de nouvelles recrues. Il décrit en détail les défis de la guerre : la vie dans des sous-sols, l’entraînement intensif et l’importance du travail d’équipe, de la discipline et de la communication.

Thomas s’adresse à ceux qui souhaitent rejoindre les forces ukrainiennes : « N’oubliez pas : la discipline, le travail d’équipe et la communication sont essentiels. Vous recevrez tout le nécessaire pour le combat.»

Il exhorte les volontaires à ne pas se taire face à un manque, mais à demander ouvertement de l’aide aux commandants et à toujours dire la vérité, car des vies en dépendent, la leur et celle de leurs camarades.

Regardez la vidéo pour découvrir l’histoire inspirante de Thomas et comprendre pourquoi l’armée ukrainienne est aujourd’hui l’une des plus puissantes d’Europe. Si vous ressentez l’appel du combat pour la liberté, rejoignez les rangs des défenseurs de l’Ukraine et joignez-vous à cette cause commune !

Je m'appelle Toretto, je suis Colombien et je suis arrivé en Ukraine grâce à un ami. J'ai servi dans l'armée colombienne et je suis aujourd'hui soldat dans les forces de défense ukrainiennes. J'ai été accepté comme un citoyen de ce pays et je me sens comme un membre à part entière de cette nation.

Je m'appelle Luis Ortiz et je suis colombien. Au début de la guerre, j'ai décidé de m'engager dans l'armée ukrainienne, fort de mon expérience militaire. La formation est de haut niveau et l'armée est très professionnelle. Toute personne souhaitant apporter son aide peut s'engager et obtenir un contrat et des opportunités de développement.

L'histoire du volontaire brésilien portant l'indicatif «JC»

Le soldat brésilien connu sous le nom de «JC» a rejoint les forces de défense ukrainiennes en février 2023. Il partage son expérience en matière d'adaptation, de communication et d'entraînement.

Fort de son expérience de combat lors de la guerre du Kosovo, il souligne : ce n'est que sur le champ de bataille que l'on comprend véritablement la nature de la guerre.

«Le plus important, c'est d'être préparé. Ensemble, nous sommes forts.»

Le soldat colombien «Crazy Horse» a rejoint l'armée ukrainienne en 2023, après avoir servi dans l'armée colombienne pendant 9 ans.

Il évoque les particularités de la guerre, note les changements positifs et appelle au volontariat : «Cette guerre n'est pas facile, mais ensemble, nous sommes comme 300 Spartiates.»